Nouvelles du marché Peu de changement pour les prix du pétrole
Au cours des premières transactions boursières de vendredi, les cotations des barils de pétrole brut de type Brent et Nymex étaient quasiment stables par rapport aux cours de clôture de la veille.
La hausse du cours du dollar américain, qui renchérit les importations de matières premières pour les acheteurs des autres pays, contribue à faire pression sur les prix du pétrole.
La hausse du cours du dollar américain, qui renchérit les importations de matières premières pour les acheteurs des autres pays, contribue à faire pression sur les prix du pétrole.
En juin, la production de l’OPEP a augmenté de 20'000 barils par jour par rapport au mois précédent, pour se porter à 26.77 millions de barils par jour. La hausse des volumes de production de l’Iran, du Venezuela et de la Libye – pays qui ne sont pas soumis aux réductions de production de l’OPEP+ - est parvenue à compenser le recul de la production pétrolière des autres membres de l’OPEP. Le potentiel de baisse des cours du pétrole est néanmoins limité par les seuils de soutien technique de 84.50 dollars USA pour le baril de Brent et 760 dollars US pour la tonne de gasoil (mazout de chauffage).
Au cours de la semaine du 13 juillet, les demandes initiales d’allocations de chômage ont augmenté de 20'000 aux USA, pour se porter à 243'000. Selon la déclaration d’hier du ministère du Travail, il s’agit du niveau le plus élevé de ces dix derniers mois. La hausse des demandes est en partie due aux conséquences de l’ouragan qui a frappé le Texas la semaine dernière mais également à l’affaiblissement progressif du marché de l’emploi américain. Ce ralentissement renforce les spéculations, selon lesquelles la Réserve fédérale pourrait baisser ses taux d’intérêt lors de sa prochaine réunion, afin de stimuler l’activité économique. Par conséquent, la demande de pétrole brut serait susceptible d’augmenter.
Au cours de la semaine du 13 juillet, les demandes initiales d’allocations de chômage ont augmenté de 20'000 aux USA, pour se porter à 243'000. Selon la déclaration d’hier du ministère du Travail, il s’agit du niveau le plus élevé de ces dix derniers mois. La hausse des demandes est en partie due aux conséquences de l’ouragan qui a frappé le Texas la semaine dernière mais également à l’affaiblissement progressif du marché de l’emploi américain. Ce ralentissement renforce les spéculations, selon lesquelles la Réserve fédérale pourrait baisser ses taux d’intérêt lors de sa prochaine réunion, afin de stimuler l’activité économique. Par conséquent, la demande de pétrole brut serait susceptible d’augmenter.