Nouvelles du marché Légère baisse des prix du pétrole en cette fin de semaine
Cette semaine, les prix du baril de pétrole brut se sont stabilisés près du niveau de soutien de 71.00 dollars US. L’absence d’un catalyseur haussier réellement concret signifie que la reprise des cours du pétrole demeure plutôt modérée. La perspective d’une augmentation de l’offre en provenance des USA et de l’OPEP+, ainsi que les doutes sur une reprise prochaine de l’économique chinoise, suscitent toujours des craintes.
En octobre, les raffineries pétrolières chinoises ont traité 4.6 pour cent de moins de pétrole brut que durant la même période de l’année dernière, ce qui représente le septième recul consécutif par rapport à 2023. Les données du bureau national des statistiques parues vendredi ont montré que cette baisse est due à la fermeture de certaines installations et à la réduction du taux de productivité de petites raffineries indépendantes. Ce recul du taux d’exploitation intervient alors que la croissance de la production industrielle chinoise a subi un ralentissement le mois passé et que le problème de la demande dans le secteur immobilier subsiste, malgré la progression des dépenses des consommateurs indiquée par les données gouvernementales.
Cette semaine, les prix du pétrole ont diminué, les principaux pronostiqueurs indiquant que les facteurs fondamentaux du marché étaient en faveur d’une tendance baissière. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) prévoit qu’en 2025, l’offre pétrolière mondiale dépassera la demande, même si les réductions de production de l’OPEP+ demeurent en vigueur. L’OPEP+ comprend l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés, tels que la Russie car la production croissante en provenance des USA et des autres producteurs externes est supérieure à la demande plutôt faible.
Cette semaine, les prix du pétrole ont diminué, les principaux pronostiqueurs indiquant que les facteurs fondamentaux du marché étaient en faveur d’une tendance baissière. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) prévoit qu’en 2025, l’offre pétrolière mondiale dépassera la demande, même si les réductions de production de l’OPEP+ demeurent en vigueur. L’OPEP+ comprend l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés, tels que la Russie car la production croissante en provenance des USA et des autres producteurs externes est supérieure à la demande plutôt faible.