Nouvelles du marché Les prix du pétrole sont en passe d’enregistrer une hausse hebdomadaire de 3 pour cent
Vendredi, les prix du pétrole se sont stabilisés et ont pris la direction de leur première hausse hebdomadaire depuis la fin novembre.
Les sanctions supplémentaires contre l’Iran et la Russie accroissent les craintes d’approvisionnement, tandis que l’offre excédentaire fait pression sur les marchés. Les barils de pétrole brut de type Brent et Nymex sont en passe d’enregistrer une hausse hebdomadaire de plus de 3 pour cent.
Les sanctions supplémentaires contre l’Iran et la Russie accroissent les craintes d’approvisionnement, tandis que l’offre excédentaire fait pression sur les marchés. Les barils de pétrole brut de type Brent et Nymex sont en passe d’enregistrer une hausse hebdomadaire de plus de 3 pour cent.
L’espoir d’assister à une stimulation de la demande pétrolière, à la suite des mesures de relance de l’économique chinoise, est bien présent. Les données chinoises de cette semaine montrent qu’en novembre, les importations de pétrole brut du pays ont augmenté pour la première fois depuis sept mois. Elles ont été stimulées par la baisse des prix et l’acquisition de stocks.
Après avoir atteint leur niveau le plus bas en septembre, les marges de raffinage se sont légèrement améliorées, ce qui ne suffit pas à justifier les volumes d’importation de pétrole brut du mois de novembre. Les importations de pétrole brut vont probablement demeurer élevées jusqu’au début 2025, les raffineurs cherchant à s’approvisionner davantage auprès du plus important exportateur de pétrole qu’est l’Arabie saoudite.
La récente décision des membres de l’OPEP+ de reporter l’augmentation de leurs volumes de production pétrolière a sensiblement réduit le risque d’une éventuelle surabondance de l’offre l’année prochaine.
Après avoir atteint leur niveau le plus bas en septembre, les marges de raffinage se sont légèrement améliorées, ce qui ne suffit pas à justifier les volumes d’importation de pétrole brut du mois de novembre. Les importations de pétrole brut vont probablement demeurer élevées jusqu’au début 2025, les raffineurs cherchant à s’approvisionner davantage auprès du plus important exportateur de pétrole qu’est l’Arabie saoudite.
La récente décision des membres de l’OPEP+ de reporter l’augmentation de leurs volumes de production pétrolière a sensiblement réduit le risque d’une éventuelle surabondance de l’offre l’année prochaine.